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conseil municipâl de vanves - Page 3

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    BAS RELIEF : La Ville a demandée une subvention à la DRAC (Direction Régionale des affaires culturelles) Ile de France pour la restauration d’un bas relief du XVIe soécle en albâtre, provenant de l’église Saint Remy. IL représente le «baiser de Judas et le Christ au prétoire» classé monument historique au titre des objets le 30 Juillet 1971, car c’est un élément remarquable de la sculpture de la Renaissance. Cette œuvre, très endommagé, est conservée aux Archives Municipales. La ville a souhaitée le restaurer sur les conseils du conservateur régional des monuments historiques  et de le sceller dans un mur du chœur de l’église Saint Remy afin de le mettre en valeur tout en le protégeant

    34 RUE DE L’AVENIR : Le Conseil Municipal du 9 Octobre a décidé de vendre une réserve fonciére après avoir acquis cette parcelle de la rue de l’avenir pour réaliser une aire de stationemùent où se trouve deux petits pavillons édifiés en 1923, dans un état plutôt médiocre. « On avait trouvé un projet intéressant après quelques années de tergiversations. On avait sollicité plusiers bailleurs dont Toit et Joie qui a abandonné vu la situation de ce terrain. On a cherché à le vendre à un promoteur au lieu de faire nous même l’opération» a indiqué le maire en répondant à Boris Amoroz (FG/PC) qui ne comprenait pas pourquoi on ne faisait pas du logement social alors que la ville ne respecte pas la loi SRU. «Ce promoteur, Marignan Pierre 2000 construira 2 pavillons  et la ville récupérera 100 000 € »a t-il indiqué

  • DEMISSION DE MAXIME GAGLIARDI DU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : «Vanves a définitivement besoin d’une vision renouvelée !»

    Maxime Gagliardi a annoncé sa démission de sa fonction de Maire-Adjoint et du Conseil Municipal : «Elu depuis 2001, je me suis investi tout au long de ces années, avec passion et engagement pour servir les Vanvéens.  J’ai toujours veillé à ce que mon action soit menée pour l’intérêt général, sans exclusive partisane. La délégation aux Sports ne souffre à mon sens, aucun écart possible à ce principe fondamental.  C’est dans cet esprit que j’ai toujours activement œuvré tout au long de ces 18 années passées à vos côtés, pour promouvoir le Sport au sein de notre ville, et ainsi participer à son développement, sur tous les terrains vanvéens, franciliens et au-delà, puisque de belles aventures sportives mais avant tout humaines, m’ont régulièrement conduit à aller encourager les diverses équipes de notre ville. Après 3 mandats au cours desquels j’ai toujours loyalement soutenu l’actuelle majorité municipale, tout en essayant de défendre avec force et passion des points de vue souvent différents et singuliers, je pense sincèrement que le temps du renouveau est arrivé. Il est l’heure de passer le relais ! » acrit il dans un message.  

    « Vanves a définitivement besoin d’une vision renouvelée, fondement de son rayonnement pour les prochaines décennies. Dans un environnement en permanente mutation, confrontée à des enjeux économiques, écologiques, technologiques et sociaux majeurs, Vanves doit pouvoir développer une énergie nouvelle pour s’inscrire activement au cœur de la Métropole du Grand Paris, et devenir un acteur incontournable de cette instance ! Conscient que nous aurions pu faire encore mieux, sûr de l’immensité de ce qui reste à édifier, je peux vous assurer être cependant fier du travail accompli avec les différentes équipes qui m’ont suivi avec engagement et enthousiasme et bien sûr, en partenariat avec le Mouvement associatif . Après tant d’années auprès de vous, pour vous, je n’oublierai jamais les joies et les peines qui ont jalonné ce long parcours : les soirs de victoires ou de défaites, leurs lendemains euphoriques ou moroses, vos sourires, nos échanges et toujours notre passion partagée.

    Je conserverai aussi profondément gravé en ma mémoire le souvenir de nos amis trop tôt disparus. Deux hommes d’exception ont profondément marqué et guidé mon action :  Maurice Magne, Président du Stade de Vanves et Gérard Clérin, Directeur des Sports de notre ville.  Ils incarnaient le sens du devoir et l’engagement désintéressé.  Ils avaient des convictions sportives fortes et des valeurs humaines rares alliées à une passion sans limite pour Vanves ; ce fut un immense honneur de les connaître et de les côtoyer.  Ils ont été et resteront une source d’inspiration pour moi, à titre individuel et personnel. Détaché désormais de tout engagement partisan, je reste plus que jamais un citoyen engagé».

  • BUDGET 2019 A VANVES : «Un budget d’avenir, loin de gérer les affaires courantes » à la veille des Municipales de 2020

    Le budget primitif 2019 de la ville s’éléve à 43,1 M€pour le fonctionnement (+1,36%), 17,9 M€ pour l’investissement. «Son objectif est de préserver l’atttactivité de la ville, la qualité du service public local, avec des investissements majeurs dans le domaine de l’éducation, de la culture. On a retrouvé la stabilité en espérant que rien ne viendra troubler nos efforts » espére Bernard Gauducheau (UDI), maire de Vanves qui s’est félicité d’un climat plus favorable dans les relations Etat-Collectivités locales, le gouvernement ayant l’air de mieux considérer les élus comme de véritables interlocuteurs

    Bertrand Voisine, maire adjoint aux finances est entré dans le détail des dépenses et recettes de fonctionnement et d’investissement. Pour ces dernières, le montant des travaux s’élévent à 10,1 M€ avec plusieurs opérations prévues, sachant que des chantiers sont cours ( Tribune du PMS A.Roche, Médiathéque au rez-de-chaissée de l’ilmmeuble Legrend à l’angle Mary Besseyre/Guy Mocquet) , des projets vont s’engager (nouveau centre technique municipal, rénovation et agrandissement école du parc ): la rénovation du pavillon Potin où était installé le secrétariat du stade de Vanves avant il ne déménage à la piscine, le réaménagement et le reverdissement de l’allée principale du cimetière, l’enfouissement des réseaux rues Henri Martin, Hoche, Marcel Yol,  la ville va financer la restauration du bas relief du XVIe siécle appartenant à la ville et provenant de l’église Saint Remy, représentant « le baiser de Judas et le Christ au prétoire ». Elle va participer pour 1 M€ au projet de reconstruction des installations sportives du lycée Michelet

    Beaucoup de dépenses concernent des renouvellements de matériels (matériel son, lumière et rideaux à Panopée, Nouvel écran pour le Cinéma au Théâtre, matériels sportifs pour les écoles),   des travaux de rénovation (aires de jeux dans les écoles et créches, jardin pédagogique Gambetta), de sécurisation  (installation de clôture occultante entre l’école larmeroux et le pavillon Larmeroux, renforcement réseaux électriques des écoles…), d'accessibilité, hygiéne-sécurité

    L’opposition socialiste qui n’a pas voté le budget n’a pas été tendre : «Tout d’abord, si vos budgets étaient contraints cela n’était pas essentiellement dû à une ponction plus importante de l’Etat sur les collectivités (baisse des dotations et hausse de la péréquation), contrairement à ce que vous affirmiez jusqu’en 2017, mais bien à une hausse des emprunts et des charges financières ces dernières années, entraînant une diminution de l’autofinancement et de l’épargne nette !» a déclaré Anne Laure Mondon (PS) en indiquant que, après plusieurs années de baisse, la DGF (Dotation Globale de Fonctionnement) est dorénavant relativement stable,  la Ville n’a pas été contributrice au FSRIF (Fonds de Solidarité de la Région IDF) depuis 2016 et a vu sa contribution au FPIC (Fonds de Péréquation Intercommunale) passer d’environ 900.000 € en 2016 à environ 200.000 € depuis 2017 - «Cette baisse des ponctions de l’Etat sur les collectivités devraient donc, si l’on suivait votre raisonnement, nous laisser davantage de marges de manœuvre» - mais supporte un encours de la dette de 13,08 M€  compte tenu des emprunts passés, malgré l’affectation d’une partie de la vente des terrains Aristide Briand à hauteur de 12 millions d’€ au désendettement de la Ville, avec un faible autofinacement depuis 2014  (1,93 millions d’€, contre 2,4 millions d’€ en 2014, 2,9 millions en 2016 ou 2,23 millions d’€ en 2017). «Malgré tout la Ville continue à mener une politique d’investissement inadaptée à ses capacités d’emprunt et d’épargne. Les travaux et équipements budgétisés pour 2019 représentent ainsi 10,1 M€ (9,1 en 2018… Nous nous demandons donc comment la Ville les financera auxquels doivent être ajoutés les 5,9 millions d’€ de reports de l’année 2018, sans recourir à l’emprunt et continuer à alimenter le cercle « vicieux » emprunts / charges financières / diminution de l’autofinancement et de l’épargne nette ?». 

    Bien évidemment, elle n’en a pas moins relévé la mutualisation de l’Espace Santé avec Issy les Moulineaux coûte 60.000 € par an à la ville  et engendre une perte de recettes de l’ordre de 23.000 €. « Dans le même temps les recettes de fonctionnement attendues sont de 7.500€ dans le BP 2019 alors qu’elles étaient de 31.000€ dans le Compte administratif de 2018…Pourquoi ne pas avoir renforcé et développé l’ESJ de Vanves, garantissant la pérennisation d’un lieu plébiscité par nos jeunes, leurs parents et les personnels médicaux des établissements scolaires, au lieu de payer une participation de 60.000€ pour la délocalisation de ce lieu ! Un service en moins pour nos jeunes sur notre commune, moins de recettes et plus de dépenses…» a-t-elle constatée. « Vous avez oublié les 90 000 € de salaires » a répliqué Bernard Gauducheau.

    «Ce budget est équilibré, mais sans ambition. Vos choix seront proposés lors la campagne. Il ne fait que gérer les affaires courantes » a constaté Jean Cyril Le Goff (LREM). «S’engager sur une médiathéaue, l’éducation, la culture, c’est loin de gérer les affaires courantes. C’est un budget d’avenir, de projets, ambitieux pour l’avenir de Vanves qui est une ville qui se développe plutôt bien » a répondu le maire